Plus loin dans le parc.

Il était la, debout, difficilement debout, mais debout. Elle restait dans ses pensés. Il croyait vraiment devenir fou. Il tomba alors sur ses genoux, il tremblait. Il hurla soudainement.
Pardonne moi Ytan! Je t'en pris!
Il commença alors à pleurer, il n'avait jamais pleuré, ni même avant ou encore après la mort de ses parents, et même pas pendant. Il trembla de plus en plus.
Je ne peux pas retourner la voir, elle ne me pardonnera pas d'être partie aussi présipitement.

Elle marcha pendant un bon moment, quand soudain:

Ah... le voilà... Mais... C'est moi ou il pleure? Qu'est ce qu'il a ?

Elle s'approcha doucement, mis sa main sur son épaule, et lui dit:

Tu sais, si tu veux, tu peux te recueillir à moi! C'est pour ça que son fait les amis ^^ Après, c'est toi qui voit ^^

Elle l'aida à le lever, et le mit sur le banc...

Suite à ces douces paroles, il se sentait encore plus triste, il s'assit doucement sur le banc
Je n'ai..... ri....rien a dire..... Ytan.....
Pourquoi suis-je si stupide, et pourquoi tu es si douce avec moi Ytan, je ne m'hérite pas tant de tendresse..
Il pris doucement Ytan par sa taille et la blotissa dans ses bras. Il déposa tristement sa tête sur l'épaule d'Ytan

Ytan accompagna lentement Zero dans son câlin... Elle savait très bien que Zero ne faisait jamais ce genre de trucs...

Toi, tu me caches quelque chose... Vas-y parle, ça fera quoi de plus?

Je me demande bien ce qu'il me cache...

Pensa t-elle alors...

Je... je....
Il sentit sa gorge se sérrer, il tremblait doucement.
Je... non... je ... je ne peux pas Ytan...
Il se leva doucement.
Allez, va au bal, avec de la chance Meka sera la..
Il souria difficilement, afin de caché la tristesse qui envaissais son coeur

Bon... le bal est fini mais bon... au revoir ^^

Elle s'en alla en courant vers le lycée.

Qu'est ce qu'il à pas voulu me dire? Peut-être qu'il était amoureux de moi... Enfin bon... l'important, c'est que je vais faire un bon gros dodo !

Elle pris la viande humaine qui trainée dans son sac, et arriva tant bien que mal à sa chambre...

Il resta la, figer, pendant quelque instant, voir quelque heure,... Il retenait difficilement ses larmes, mais arrivait a les retenir
Pourquoi suis-je si stupide, ce n'est pas si dure pourtant, il m'e semble... pourquoi elle... cette si douce et tendre jeunee fille... elle ne mérite pas de souffrir, encore moins à cause de moi... elle est si parfaite...
C'est alors qu'il se dirigea doucement vers l'école